Rosalie Pottemain de Laroque

Quand l’artiste-peintre (il ou elle), regarde un arbre, il y voit la vie, quand il regarde un oiseau, il voit la liberté, quand il regarde un enfant, il voit l’avenir, quand il regarde l’horizon, il voit le paradis et je pourrais vous donner nombre d’autres exemples.

Il caresse ses rêves du bout de son pinceau, il les partage à grand renfort de couleurs, dans le fondu d’une aquarelle, dans un paysage qui lui appartient, dans un portrait émouvant…

Il s’applique à vous toucher le cœur, à vous ravir l’esprit, à vous imprégner de ses sentiments à l’instant béni de sa création.

Il ne cherche pas à copier un style, il se moque de l’aspect commercial et des phénomènes de société, il ne cherche pas à appartenir à une quelconque mouvance.

Alors, laissez le tranquille dans ses errances, dans sa folie, dans son « irraisonnable »

Aimez le pour ce qu’il est, pour l’émotion qu’il dégage, pour les poussières d’étoiles qu’il sème.

Ne vous arrogez jamais le droit de piétiner ni son oeuvre, ni ses rêves… Surtout lorsque vous êtes incapables du millième de ce dont il est capable.

Avec une dédicace particulière à mon amie Rosalie P. de Laroque, elle-même artiste peintre et qui sait pourquoi je viens d’écrire ces quelques lignes.

Bonne soirée à tous

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